Maison passive
La construction passive concerne les maisons, les immeubles, les logements sociaux, les bâtiments tertiaires dans le neuf ou en rénovation.
De quoi s'agit-il ? La maison passive par sa conception (isolation renforcée, fenêtres les plus isolantes, suppression au maximum des déperditions thermiques), consomme 90 % d’énergie de chauffage en moins qu’une construction existante et 50 % de moins qu’une maison nouvellement construite selon la réglementation thermique actuelle (RT 2012). L’isolation et la conception assurent l’inertie thermique du bâtiment, permettant de résister aux fortes chaleurs, il n’y a donc pas de surchauffe l’été. Les simulations informatiques dès la conception garantissent que la température ne pourra pas aller au-delà de 25°C pendant plus de 10% de l’année.
Le bâtiment passif est un bon investissement car il est plus cher à la revente. En effet, il sera déjà aux normes règleemntaires futures. De plus, les faibles coûts d’exploitation et de chauffage se valorisent. La labellisation bâtiment passif n’est pas une obligation mais elle est la garantie du respect des règles de l’art et d’une bonne mise en œuvre.
EDIMM vous aide et vous accompagne dans cette démarche Bâtiment Passif : étude de faisabilité pour les projets neufs ou en rénovation, assistance dès la conception du projet et sur la durée du chantier, constitution du dossier de labellisation Maison Passive.
Notre méthodologie
Définition des objectifs de la prestation
Etude documentaire préalable au diagnostic
Relevés sur site
Analyse technique des données
Rapport et restitution de l’Audit
Vous avez des questions ?
L’analyse du cycle de vie (ACV) est un levier d’aide à la prise de décision. Les résultats de l'ACV peuvent être utilisés à des fins d’éco-conception, d’affichage environnemental ou encore d’orientation des politiques publiques.
- Construction :
Le chantier de construction du bâtiment est également analysé : consommation d'eau, d'énergie, production de déchet, immobilisation de matériels. Tous ces aspects sont pris en compte.
- Occupation :
Une fois la maison construite elle va être occupée et entretenue pendant toute sa durée de vie. Pendant cette période de l'eau et de l'énergie vont être consommées par ses habitants. Les fenêtres vont être changées, la toiture refaite, les équipements renouvelés. Tout cela est calculé très simplement dans l'analyse de cycle de vie du bâtiment par l'intermédiaire des fiches de déclarations environnementales et sanitaires et de leurs durée de vie typique.
- Démolition :
Arrive un moment où la décision de démolir le bâtiment est prise. Il va falloir déposer la toiture, récupérer les produits qui peuvent être conservés ou recyclés et démolir le reste. Les déchets de cette démolition peuvent être réutilisés, recyclés ou valorisés énergétiquement ou encore dirigés vers un centre de stockage.
Une analyse du cycle de vie bâtiment consiste à faire la somme de toutes ces étapes et les traduire en impact sur l'environnement.
La performance environnementale d'un bâtiment se calcule en fonction du cycle de vie du bâtiment, de l'extraction des matériaux à la déconstruction. Il y a donc une quantité très importante d'informations qui entrent en jeu :
Il est donc important que l'ensemble de ces éléments puisse être admis de façon simple, lisible et compréhensible tant par le maitre d'ouvrage au moment ou il doit effectuer ses choix ou par l'utilisateur final.
L’étude d'impact environnemental est un levier d’aide à la prise de décision. Les résultats de l'étude peuvent être utilisés à des fins d’éco-conception, d’affichage environnemental ou encore d’orientation des politiques publiques.